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Hunter Hayes n’est âgé que de 21 ans. Bien que son album éponyme se déploie sur les tablettes des disquaires depuis plus d’un an, il n’est jamais trop tard pour faire des découvertes intéressantes et surprenantes. Voilà pourquoi Nouveau Regard vous propose un article sur ce nouveau visage de l’industrie musicale américaine.
Il s’agit d’un premier album pour le jeune auteur-compositeur-interprète américain. Par cet opus, il cible rapidement sa zone de confort : le country. Un country populaire, actuel, qui rivalise avec les Rascal Flatts, Keith Urban et Carrie Underwood de ce monde. Évidemment, le genre ne se réinvente pas, mais le jeune artiste propose des pièces structurées, assumées et totalement enlevantes.
L’album s’ouvre avec les deux premiers extraits radio, Storm Warming et Wanted, permettant à l’auditeur de se transposer rapidement dans l’esprit et l’univers musical du chanteur. Dès le départ, Hunter Hayes annonce ses deux facettes. Les pièces suivantes se complètent et créent un parfait équilibre entre les rythmes plus enflammés (Somebody’s Heartbreak, Love Makes Me, More Than I Should) et ceux que l’on peut qualifier de ballades (Rainy Season, All You Ever). Chose étonnante : il est un véritable multimusicien, puisqu’il est le seul à jouer l‘ensemble des instruments présents sur l’album (batterie, guitare électrique et acoustique, basse, piano, accordéon et plus encore).
Ses textes, sans être très étonnants, dégagent malgré tout une émotion palpable, entre autres par l’interprétation qu’il en fait et la voix qu’il possède. Il a d’ailleurs pu les présenter en première partie de Taylor Swift et de Carrie Underwood, puis lors de sa première tournée solo.
Sa passion transpire à l’intérieur de chacune de ses pièces. Il offre un opus très impressionnant pour son âge et ses débuts. Avec deux nominations aux prochains Grammys, dont une dans la catégorie de révélation de l’année, Hunter Hayes nous prouve que sa jeune carrière n’est certainement pas au bord de l’agonie.
Un must pour les amateurs de country américain.
Il s’agit d’un premier album pour le jeune auteur-compositeur-interprète américain. Par cet opus, il cible rapidement sa zone de confort : le country. Un country populaire, actuel, qui rivalise avec les Rascal Flatts, Keith Urban et Carrie Underwood de ce monde. Évidemment, le genre ne se réinvente pas, mais le jeune artiste propose des pièces structurées, assumées et totalement enlevantes.
L’album s’ouvre avec les deux premiers extraits radio, Storm Warming et Wanted, permettant à l’auditeur de se transposer rapidement dans l’esprit et l’univers musical du chanteur. Dès le départ, Hunter Hayes annonce ses deux facettes. Les pièces suivantes se complètent et créent un parfait équilibre entre les rythmes plus enflammés (Somebody’s Heartbreak, Love Makes Me, More Than I Should) et ceux que l’on peut qualifier de ballades (Rainy Season, All You Ever). Chose étonnante : il est un véritable multimusicien, puisqu’il est le seul à jouer l‘ensemble des instruments présents sur l’album (batterie, guitare électrique et acoustique, basse, piano, accordéon et plus encore).
Ses textes, sans être très étonnants, dégagent malgré tout une émotion palpable, entre autres par l’interprétation qu’il en fait et la voix qu’il possède. Il a d’ailleurs pu les présenter en première partie de Taylor Swift et de Carrie Underwood, puis lors de sa première tournée solo.
Sa passion transpire à l’intérieur de chacune de ses pièces. Il offre un opus très impressionnant pour son âge et ses débuts. Avec deux nominations aux prochains Grammys, dont une dans la catégorie de révélation de l’année, Hunter Hayes nous prouve que sa jeune carrière n’est certainement pas au bord de l’agonie.
Un must pour les amateurs de country américain.