Le 22 octobre dernier, Taylor Swift présentait Red, son nouvel album. Après avoir partagé cinq extraits promotionnels sur la plateforme de téléchargement iTunes, il était désormais le temps de procéder à une écoute complète.
Nous constatons rapidement qu’il ne s’agit pas de la Taylor Swift habituelle. Son premier simple nous avait prévenu : We Are Never Ever Getting Back Together proposait un son différent, une ambiance beaucoup plus pop que country. Et cette piste n’est pas la seule à prendre ce tournant : I Knew You Were Trouble et 22 délaissent complètement le style primaire de la jeune chanteuse. On y retrouve plutôt dubstep, électro et pop accrocheuse. La chanson titre de l’album, quant à elle, se raccroche davantage aux racines de l’artiste, malgré un « Re-e-e-ed » électro récurent à l’intérieur du refrain. Un mélange nouveau et intéressant.
Pour ses fans, le reste de l’album est rassurant : le country demeure malgré tout majoritaire. Les pièces All To Well, I Almost Do et Begin Again - dont elle vient tout juste de lancer le vidéoclip - se nourrissent des précédents opus avec un son, des textes et une voix dans le genre dont elle est à l’aise.
Elle offre aussi un duo avec Gary Lightbody. La chanson The Last Time étonne à la première écoute et ne semble pas très bien concorder avec le reste de l’œuvre. Cependant, nous l’adoptons avec le temps et elle devient essentielle. Une interprétation très sentie de la part des deux artistes.
Bref, la chanteuse américaine propose à ses admirateurs d’évoluer avec elle, d’adopter certains changements qui, malgré la surprise qu’ils engendrent, apportent un je-ne-sais-quoi de très intéressant, un tournant qui n’en est qu’à sa première courbe. Les prédictions annoncent que plus d’un million de copies s’écouleront à la première semaine. Le phénomène Taylor Swift est loin de s’épuiser.
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Nous constatons rapidement qu’il ne s’agit pas de la Taylor Swift habituelle. Son premier simple nous avait prévenu : We Are Never Ever Getting Back Together proposait un son différent, une ambiance beaucoup plus pop que country. Et cette piste n’est pas la seule à prendre ce tournant : I Knew You Were Trouble et 22 délaissent complètement le style primaire de la jeune chanteuse. On y retrouve plutôt dubstep, électro et pop accrocheuse. La chanson titre de l’album, quant à elle, se raccroche davantage aux racines de l’artiste, malgré un « Re-e-e-ed » électro récurent à l’intérieur du refrain. Un mélange nouveau et intéressant.
Pour ses fans, le reste de l’album est rassurant : le country demeure malgré tout majoritaire. Les pièces All To Well, I Almost Do et Begin Again - dont elle vient tout juste de lancer le vidéoclip - se nourrissent des précédents opus avec un son, des textes et une voix dans le genre dont elle est à l’aise.
Elle offre aussi un duo avec Gary Lightbody. La chanson The Last Time étonne à la première écoute et ne semble pas très bien concorder avec le reste de l’œuvre. Cependant, nous l’adoptons avec le temps et elle devient essentielle. Une interprétation très sentie de la part des deux artistes.
Bref, la chanteuse américaine propose à ses admirateurs d’évoluer avec elle, d’adopter certains changements qui, malgré la surprise qu’ils engendrent, apportent un je-ne-sais-quoi de très intéressant, un tournant qui n’en est qu’à sa première courbe. Les prédictions annoncent que plus d’un million de copies s’écouleront à la première semaine. Le phénomène Taylor Swift est loin de s’épuiser.
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